On ne peut aimer une audience, de la même façon on ne peut aimer un dieu. On dépend trop delui, on prie sa venur, sa clémence, on lui fait des sacrifices. Chers lecteurs, je ne vous aime pas, je vous adore, je vous révère.
Mais il y a les jours où l’on perd patience, on l’on voudrait que tout aille beaucoup plus vite, on prend des raccourcis, on se permet des trucs incompréhensibles, on essaye de choquer. Pardon d’avance, vous me comprenez trop bien, je suis humain.
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