Alors qu’il y a encore quelques mois on nous assurait que le pétrole n’était pas spéculatif et que l’appétit de la chine pouvait très bien à lui seul nous amener à un baril à 100$, celui-ci ne vaut plus que 50$ aujourd’hui, et les raisons de la flambée passée apparaissent d’un tout autre registre.
“Reste que la principale explication du reflux du pétrole n’est pas climatique. Dans une récente étude, les experts du Crédit Agricole montrent que la moindre appétence des spéculateurs pour le pétrole explique une grande partie de ce contre-choc.”
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