KO. Bout de course, fin de partie.
Quand on arrive à ce style d’image, on sait qu’on est allé trop loin, que ça ne marchera pas. Alors de rage, on gribouille un Frankenstein avant de s’effondrer de fatigue.
Le lendemain, on constate l’incident de parcours, on signe le constat d’échec, on se remet sur les rails et on reprend la route.
Original chez toi. Tu es très négatif sur les conditions de la création, la difficulté n'est-elle point propre à tout créateur ?
En tout cas le résultat en vaut la peine. Recommence à nous surprendre.
Je retranscris ce que j'ai ressenti ce soir là, et c'était vraiment la sensation de faire de l'acharnement thérapeutique. Je ne suis pas arrivé à ce que je voulais, donc j'ai laissé libre cours au bidouillage.
Tu sais ce qu'on dit: une porte se ferme, une fenêtre s'ouvre… 😉