Par Isa:
“- Peintre ! Il y a confusion !
– Disciple, tu contesterais mon œuvre ?
Que me vaut cette attaque, cette soudaine rébellion ?
– Tu dis peindre l’été, le bonheur méridional,
Quand la sieste emporte les hommes au cœur des maisons,
Mais je ne vois que le froid et un silence sans raisons.
– Ah disciple, tu as vu juste.
J’ai eu trop d’ambitions.
J’ai voulu peindre l’ivresse, quand dans mes veines,
Ne coulait que l’amertume.
– Peintre, rien ne presse ;
Porte tes lèvres à ma coupe,
Et bientôt les chaleurs reviendront.”
– Peintre ! Il y a confusion !
– Disciple, tu contesterais mon œuvre ?
Que me vaut cette attaque, cette soudaine rébellion ?
– Tu dis peindre l’été, le bonheur méridional,
Quand la sieste emporte les hommes au cœur des maisons,
Mais je ne vois que le froid et un silence sans raisons.
– Ah disciple, tu as vu juste.
J’ai eu trop d’ambitions.
J’ai voulu peindre l’ivresse, quand dans mes veines,
Ne coulait que l’amertume.
– Peintre, rien ne presse ;
Porte tes lèvres à ma coupe,
Et bientôt les chaleurs reviendront.