Ca y est Antoine. Je l’ai commencé. Enfin si on peut dire qu’un bouquin est commencé une fois la première page lue. Parce que j’avais déjà lu cette première page, en avant goût, pour me faire une idée. Là c’est plus sérieux, j’en suis à la deuxième.

Plusieurs mois se sont écoulés entre les deux. Et peut être que je ne le ré-ouvrirai que lors de mon prochain déplacement professionnel à Londres. Ce sera long et irrégulier, mais une fois passée la 30ième page, je serai dedans, pris dans l’histoire, obsédé.

Et de le savoir n’accélère pourtant en rien la première phase. Le métamorphisme littéraire est au moins aussi psychologique que le métamorphisme alimentaire. Sauf que dans ce dernier cas, c’est à la trentaine qu’on commence subitement à tout prendre dans le bide.

sombre eiffel

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