Muhammad Yunus, prix Nobel de la paix, spécialiste du micro-crédit remarque que nous nous sommes enfermés de notre propre grès dans le salariat, condamnant de facto tout un pan de métiers atypiques:
“Nous menons des vies rigides, calées sur les mêmes rythmes de travail tous les jours. Nous courons pour nous rendre au travail, nous courons pour rentrer à la maison. Cette vie robotique ne me semble pas un progrès. Avec le salariat, nous avons glissé de la liberté d’entreprendre et d’une certaine souplesse de vie vers plus de rigidité. J’ai un salaire, un patron, je dois faire mon job que cela me plaise ou non, car je suis une machine à sous.[…] Le salariat devrait rester un choix, une option parmi d’autres possibilités.”
(source: lien)
“Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez plus à travailler un seul jour de votre vie” (Confucius)
Salut ! Très belle macro de cette fougère, parfaite illustration de la vie ! Bravo ! A + ! Stéphane
Pas facile en effet de s'échapper si on est enfermé dans du grès, fut-il propre! C'est pour ça qu'il faut beaucoup d'énergie pour en extirper le pétrole (sachant qu'on en laisse un part importante, que nous finirons par aller chercher à 1000 $ le baril).