C’est vrai que ça fait un bail que je ne parle plus du Paris Carnet… Je dois avouer que ma participation à la saison 2009 a été assez clairsemée, mauvaise conjonction des planètes congés et blogueurs.
2010 repart du bon pied avec le rire fabuleux de Lomalarch pour avoir très naïvement bashé Gamacée et la menace planétaire que représente son steak frite.
Moment de grâce à peine retombé que me tombe dessus un test impromptu et hautement apprécié du petit bijoux de bonheur photographique que constitue le GF1 de Panasonic une fois monté le 20mm 1.7 “pancake”. Et puis faire du prosélytisme en débrayage d’appareil photo à Kozlika est quand même le moindre juste retour de tout ce que j’ai pu apprendre à l’opéra grâce à elle.
Je tairai bien sûr la séance de radio moquette pour protéger mes sources, je ne sais pas ce que je deviendrais sans Melle Moi, Raphaëlle et Gamacée. Je crois bien que je deviendrais rétro, marron, décrépi et tout ça et que je serai obligé de lire le Parisien et Gala pour compenser. :p
L’humeur ne retombe décidément pas avec un échange fort productif de blagues réputées pas drôle: la blague de père de famille, le mauvais jeu de mot, la blague de 2m sur 3, la blague algébrique de la prépa…
La suite de la soirée implique tout ce qu’il faut pour un paris carnet réussi: vieux souvenirs de jeux vidéo, le portage de costard, le taillage de costard aussi, la photo de vacances introuvable, le piquage de bière traditionnel à Mel’, et toute la philosophie imbibée que les fûts de l’Assassin déverse.
Février tiens toi bien, il va falloir faire encore mieux!
Les paris-carnets ont toujours l'air plus fun quand je n'y suis pas :p