Moi ce sera tout de suite moins intriguant: ça me laisse complètement froid. Rien contre la technique (à part un léger commentaire sur les couleurs trop délavées à mon goût) et rien à redire sur le cadrage mais émotionnellement,
ça ne déclenche rien. Désolé, c'est la vie!
La suite du commentaire d'Incompréhensions, reçu par mail:
“Honnêtement, au premier abord j'ai trouvé ça laid, presque repoussant.
Et puis, dans les fractions de secondes qui ont suivi, j'ai senti comme un charme se dégager de cette image, quelque chose d'envoûtant.
Un parfum en fait.
Comme si ta photographie était un pot pourrit et que des bulles remontant à la surface s'échappaient un parfum unique.
Celui d'un bout de mon enfance, je crois.
Un souvenir insaisissable, qui s'évanouit lorsque l'on cherche à s'y raccrocher, mais se précise lorsque l'on fait mine de ne pas s'y intéresser…
Celui d'une maison qui n'est pas la mienne, mais une maison amie, avec un pot pourrit sur la table.
C'est laid un pot pourrit, les fleurs et les feuilles ont l'air… pourrit, justement!
Le côté statique et conventionnel du premier abord fait place à la douceur rassurante d'un parfum boisé… exactement comme dans ta photo, c'est sans doute pour cela qu'elle m'a paru aussi familière…”
C'est incroyable, j'ai bloqué sur cette photo… il y a quelque chose de familier et de captivant à la fois, c'est très étonnant…
Oui, je suis d'accord. Particulière.
Vous m'intriguez…
Moi ce sera tout de suite moins intriguant: ça me laisse complètement froid. Rien contre la technique (à part un léger commentaire sur les couleurs trop délavées à mon goût) et rien à redire sur le cadrage mais émotionnellement,
ça ne déclenche rien. Désolé, c'est la vie!
La suite du commentaire d'Incompréhensions, reçu par mail:
“Honnêtement, au premier abord j'ai trouvé ça laid, presque repoussant.
Et puis, dans les fractions de secondes qui ont suivi, j'ai senti comme un charme se dégager de cette image, quelque chose d'envoûtant.
Un parfum en fait.
Comme si ta photographie était un pot pourrit et que des bulles remontant à la surface s'échappaient un parfum unique.
Celui d'un bout de mon enfance, je crois.
Un souvenir insaisissable, qui s'évanouit lorsque l'on cherche à s'y raccrocher, mais se précise lorsque l'on fait mine de ne pas s'y intéresser…
Celui d'une maison qui n'est pas la mienne, mais une maison amie, avec un pot pourrit sur la table.
C'est laid un pot pourrit, les fleurs et les feuilles ont l'air… pourrit, justement!
Le côté statique et conventionnel du premier abord fait place à la douceur rassurante d'un parfum boisé… exactement comme dans ta photo, c'est sans doute pour cela qu'elle m'a paru aussi familière…”