Il paraitrait que le cerveau gauche est celui de la logique, la raison mais aussi celui qui matérialise la différence entre le soi et l’extérieur. Le cerveau droit permettrait au contraire la créativité, la compassion et le sentiment d’appartenir à un tout. Ce serait donc ce dernier que chercheraient à stimuler les croyants et les mystiques par la méditation et la transe.
Je me souviens avoir laissé un lien dans un ancien billet sur l’ennui et le rôle qu’il joue dans la créativité, et je commence à me demander si la marche et la course à pied n’a pas plus ou moins des effets similaires. Après tout je ne pense plus au boulot, à la paperasse et à ma trop longue todo list pendant ces longs moments où le temps s’étire et se déforme, long dès qu’on cherche l’endurance, rapide quand on surveille le chrono, et chaotique quand on arrive enfin à s’oublier.
En entrant dans un rythme, on finit par oublie de penser et on sort des envahissant “il faut, il manque, ce serait bien que, comment faire pour” qui repoussent l’heure du sommeil et empêche de rêver en pleine journée.
A la recherche du temps idéal…
Depuis qqs temps, ma bouillie cérébrale ne rasionnait plus à ton blog… ça repart :
1 – La photo m'évoque la peinture de Monet. Goon artiste peintre-photgraphique ?
2 – La séparation du cerveau m'interpelle car je n'ai jamais eu mal à un seul côté de la tête. 😉
3 – Echo au livre “Musicophilia” de Oliver Sacks, sur le lien entre l'aspect neurologique du cerveau et la musique.
4 – La marche à pied, comme la courses et autres endurances, libère des endorphines.
5 – Le temps n'est rien, seul compte la vie.