Nouveau boulot, nouveaux chantiers. Bribes éparses pour un puzzle géant. Ouvrir en grand les fenêtres et embrasser l’inconnu, le changement, le challenge… les risques. Jour après jour, s’adapter.

Et retrouver une place aux choses habituelles. Une place plus petite, temporairement j’espère, en attendant mieux, en espérant mieux.

Enfin, oublier. Parce qu’apprendre c’est trier et oublier nous rappelle Jean-Claude Ameisen dans les rediffusion de l’été de “Sur les épaules de Darwin”. Une émission passionnante où il explique entre autres l’amnésie infantile (le fait de perdre la quasi-totalité de ses souvenirs d’avant 3-4 ans) compensée par une capacité accrue d’apprendre que nous perdons très rapidement. Une sur-activité du cerveau pendant le sommeil qui efface à tours de bras pour redonner l’élasticité au cerveau nécessaire à l’enfant pendant cette période d’apprentissage quasi-continu.

rêverie de rue #2

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