Le dernier jour de vacances est toujours un peu spécial… Je me demande toujours si je vais retrouver la motivation, l’envie, les habitudes. Toutes ces petites chose du quotidien qui me paraissent si loin après une semaine loin de paris. C’est vrai pour le boulot, c’est vrai pour le blog.

On était parti dans la précipitation, parant au plus pressé, se disant qu’il ne faut pas qu’une mécanique bien huilée s’arrête dès qu’on s’absente quelques jours. Sauf que la plus fine mécanique, c’est la nôtre, et on appréhende forcément qu’elle se soit un peu rouillée.

Le moment est venu de se jeter à l’eau, encore une fois, comme si c’était toujours la première.

edit 19/11: Par Isa: L’instant d’avant …

Le bout d’un pied nu, tendu, droit,
A la juste verticale et perpendiculaire à la surface.
La très irrésistible envie de troubler l’eau qui dort, de mettre en alerte le paradis bleu.

Un simple effleurement, la surface s’éveille et le ciel se trouble.
Perturbation.
Pas un bruit dans ce monde.
Lit-on son âge dans les cercles de l’onde ?

portrait volé #4

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