Quelques citations en vrac du livre du même nom de Boris Vian (lien). Aujourd’hui je rage de me reconnaître dans la dernière, et je crains de bientôt me reconnaître dans la première, la cinquième ou la sixième. Et vous?
«Il y a deux façons de ne plus avoir envie de rien : avoir ce qu’on voulait ou être découragé parce qu’on ne l’a pas.»
«Mieux vaudrait apprendre à faire l’amour correctement que de s’abrutir sur un livre d’histoire.»
«Pour qu’il y ait passion, il faut que l’union soit brutale, que l’un des corps soit très avide de ce dont il est privé et que l’autre possède en très grande quantité.»
«Tous les parents se valent.»
«Il vaut mieux être déçu que d’espérer dans le vague.»
«Une solution qui vous démolit vaut mieux que n’importe quelle incertitude.»
«Si on ne s’aimait pas tant soi-même on serait toujours seul.»
«Ça m’est égal d’être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m’intéressent.»
«Quoi de plus seul qu’un héros ? »
«Aussi longtemps qu’il existe un endroit où il y a de l’air, du soleil et de l’herbe, on doit avoir regret de ne point y être. (Surtout quand on est jeune.)»
«Lutter n’est pas avancer.»
«Les prophètes ont toujours tort d’avoir raison.»
Et moi de repartir soigner ce morceau de métro dans mes poumons d’acier (deux références musicales à trouver, cher lecteur mélomane).
Ya Eiffel (“un morceau de métro dans les poumons”), mais j'ai pas la première référence. Déjà référence à Eiffel ya qqs jours (http://a-tension.eu/index.php?showimage=1745).
Personne pour le poumon d'acier? Même une fois réécrit dans la langue de shakespeare? 🙂
Radiohead…!!!