Lorsqu’on est un petit lichen, on se pose en surface d’un grand arbre, et on prospère autant qu’on peut le long de l’écorce. Sauf que tous ces efforts sont vains lorsque l’arbre s’assèche: l’extérieur part en premier, et moi, petit précaire volontaire, avec.
Timing de la séparation et négociation du lieu de chute sont parfois en option, mais en l’occurence non. Du coup l’optimisme non plus, et c’est là que je ne peux plus me sentir que déçu et découragé. Quel gâchis.
0 comments