… enfin pas cette fois. Un vendredi précédant les vacances où tout part en couille, comme bien trop souvent. Et pour une fois, j’ai eu le bonne idée de prendre deux grosses nuits de sommeil avant le départ, au lieu de tirer sur la corde jusqu’au bout. La différence est plus que flagrante, elle est simplement colossale: finies les journées qui n’en finissent pas et où on avance à rien, finies les engueulades par mail pour un oui ou un non (je m’en suis tenu au factuel cette fois ;), finies l’impression que le sort s’acharne contre moi, alors que rarement je serai resté dans le flou le plus total sur l’organisation de mes vacances aussi longtemps, avec autant de rebondissements.
Je me suis acharné parce que je le pouvait. J’ai accepté parce que je ne peux pas plus.
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