La mort est devenu un objet mercantile. Oh, pas avec le business des pompes funèbres, depuis six feet under on sait bien que les croque-morts rendent un service aux vivants et non aux morts. Non, c’est le JT et le film du soir qui en vivent le mieux.
Et si elle redevenait une discussion entre amis qui parlent à la première personne, plutôt? Si elle nous angoisse, n’est-ce pas la meilleure raison du monde pour ne surtout pas taire le sujet?
“Bossuet, Pascal et même Nietzsche, tous l’ont répété : ce que nous avons de plus commun est ce que nous partageons le moins.”
(source: lien)
J'aime bien… :o) Comme la plupart de tes photos d'ailleurs
Et le texte aussi ai-je oublié de préciser – réfléchissement intense sur ce thème en cours dans ma ptite tête aussi.
il faut voir le bon côté de la chose: ça aide souvent à relativiser, et pousse à réfléchir long-terme… maigre consolation?