Difficile de porter un jugement quand on s’est déplacé sur place pour voir par soi-même, mais aussi rapidement.
En lisant les polars de Tony Hillerman (lien), qui ont la particularité de se passer dans la réserve indienne des navajos, je ne m’imaginais certainement pas l’habitat local de cette manière là. Vous avez pourtant un hogan (lien) traditionnel juste à côté du mobil home vert, mais un tel état de délabrement fait peine à voir. Les seules “villes” étaient plutôt des lieux de travail que des zones résidentielles, des anciens relais et zones de troc.
Faute de temps, faute de recul, je ne peut qu’être choqué par l’image brute, sans pouvoir comprendre ce que je vois (un choix? un compromis? l’exploitaton de l’homme par l’homme?)…
0 comments